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La propreté

 
La propreté
  • Fotograf:
  • Eropgelueden:
    01.04.2013
  • Gekuckt:
    14507
  • Favoriten:
    1 (Wen?)
  • Kommentarer:
    14
  • Beliichtungszäit:
    HDR
  • Blend:
    f 14
  • Brennwäit:
    n/a mm
  • ISO:
    100
  • Blëtz:
  • Beliichtung:
  • Gréisst:
    683x1024
  • Späicherplaz:
    445 KB
  • Originaldatum:
    04-2013
  • Fotoapparat:
    Canon 1dx
  • Programm:
  • Objektiv:
    16-35 Canon
Kategorie: Objeten an Still Life »» Dobannen  
Extras:


Fir anzesetzen: [pg_img=71534]
Kommentar vum Fotograf:
De ce point de vue, sommes-nous si différents du "délirant", qui est persuadé être au centre d'un complot, qui entend des voix multiples qui le harcèlent, ou qui se sent habité par les pouvoirs d'un dieu ?

Pouvons-nous vraiment nous dissocier de ce "fou", tout en continuant à prendre pour réel la pensée d'un passé qui n'existe plus et la pensée d'un futur qui n'existe pas encore ?

Si l'on écoute sans a priori le discours du "délirant", nous allons y voir une suite qui a sa logique, sa cohérence. Et derrière cet enchaînement de croyances et d'opinions, nous pouvons sentir la détresse d'une solitude douloureuse, la peur de l'abandon et la terreur de n'être rien.

Extrait de Psychiatrie spirituelle
Zora 01.04.2013 - 11:03
Dei Plättecher sin einfach immens, schéin Perspektiv!
gtaddei1 01.04.2013 - 17:16
Merci Pierette ...
Maimonides 01.04.2013 - 15:30
Avant de nous délimiter par rapport au pathologique, Gennaro,
nous sommes spectateurs de ce qui existe:
des photographies le documentent
et nos rèves s'y promènent.
Nos interprétations à nous sont privées
surtout si la banalité nous est montrée dans un contexte surprenant.
Même les pensées non-temporelles
ne peuvent se référer qu'à l'actualité.
Le discours du "délirant" est privé aussi,
essentiellement confirmé par la courbe de Gauss.
Les extrêmes ne se touchent pas, heureusement,
et la normalité, dans ces cas-ci,
est en dedans de l'extraordinaire,
ce qui signifie déjà pléonasme.

Quant au pathologique
il ne l'est que s'il fait souffrir.
Et dans ce cas on devrait pouvoir le traiter dans l'intérêt de celui qui en souffre.
Il ne suffit pas que le public
puisse se réjouir de ces talents grandioses.
gtaddei1 01.04.2013 - 17:16
Mais justement, mon intention n%u2019était pas celle de me limiter ou délimiter par rapport au pathologique, mais de me référer à la normalité, subjective, privée... et même intime ... qui ne se dissocie pas de la folie (car même la folie présente une "logique" propre) et celle-ci est réellement souvent loin d'être source de peines et douleurs mais est source de incompréhension, car à chacun sa folie. Ce qui fait souffrire le "fou" est la solitude générée par l'attitude folle de "l'autre", càd les à priori, la perception dégénérée par la rétongueulsion du "anormal".
LEs interprétations ne peuvent qu'être privées car sont engendrées par la pensée... et souvent sans émotivité "nouvelle" (en contraste avec une émotivité générée par la mémoire, par le vécu... ).
La photographie est réellement un chemin dans lequel le rêve s'étongueanoui, met au sujet observé un sens qui dérive trop souvent de sa mémoire ou pis dérive de cliché ...
On pourrait broder des heures sur ce thème psycho-socio-photographique se ralliant à Maupassant, Sartre, Kirkegaard, Van Gogh, Buzzatti, etc etc ... ce qui en résulte n'est autre, ma foi, de la prise de conscience de la subjectivité dont on n'essaie pas assez souvent de s'en débarrasser ne fusse qu'une tentative de libération.
Merci
Maimonides 01.04.2013 - 21:29
La subjectivité, Gennaro,
se sublime dans l'honnêteté spontanée.
S'en débarrasser mène à l'artificiel,
au camouflé et à la publicité.
gtaddei1 02.04.2013 - 00:48
Je ne condivise pas ta vue... S'en débarasser signifie enrichir sa subjectivité et élargir son champ de vision...
Maimonides 02.04.2013 - 21:47
Se débarrasser de sa subjectivité, Gennaro,
signifie une approche de l'objet
sans état d'âme, sans poésie et sans culture
pour finir au réalisme pur et strict.
Fade qu'il est, certains se sont aperçus
qu'il faudrait peut-être l'améliorer encore.
C'est ainsi que l'hyperréalisme est né !
gtaddei1 03.04.2013 - 16:57
Je parlais justement du pré-conçu, de cette culture qui conditionne une vision et empêche une nouvelle vue... un rajout de culture.
La subjectivité est, comme tu l'expliques, une approche conditionnante dont le sujet est décrit par un savoir qui n'est pas de l'objet observé mais on tendra à lui conférer une signification échue de notre mémoire... mais comment alors apprendre ce que l'image nous suggère en soi?... Comment se rapprocher de l'essence? de ce qui est perçu? quelle est la poésie émanante du sujet en soi?
Par ceci mon intention n'est à aucun moment une volonté de tué la subjectivité car elle confère aux images une propre et personnelle réalité, mais on risque néanmoins de ne pas cueillir une nouvelle sensation. Oui, il est vrai que stimulant notre intellect il se crée de nouvelles libres associations de pensée et donc de nouvelles pensées (l'autoapprentissage). Puis une sorte de folie pourrait s'engendrer en entrant dans un état schizoïde où l'ego crée une autre identité de son "être" qui sera son partenaire de songe et de rêves. Mais tout celà est induit par la photo, ...
L'hyper-réalisme photographique est aussi l'HDR:
Hyperréalisme par le constat des formes et leur précision, la mise en valeur de l'objet et de sa structure, de ses détails, par l'importance de la technique et la faible charge affective.... et oui sans émotivité aucune ...
Maimonides 04.04.2013 - 20:01
Le " pré-conçu ":

le comble du pré-conçu ne peut être que la pure réalité objective et rien d'autre, même s'il est est vrai que les mouches voient celle-ci d'une façon différente. Dès qu'il y a interprétation nous sommes dans la subjectivité.

" Quelle est la poésie émanante du sujet en soi ? "

Là, nous nous rapprochons des Idées de Platon, de la métaphysique et de la transcendance. Un objet est tel que nous le voyons en tant que pure représentation de son essence idéale ou bien tel qu'il est comme nous le voyons. Dès qu'il y a quête de l'essence il y a aussi subjectivité parce que nos choix seront personnels. Il y a donc 1 seul objet (même idéal) et plusieurs subjectivités. Et ce seront ces subjectivités qui créeront les poésies parce qu'une seule et unique ne peut exister.

" HDR "

en dehors de sa technicité objective il est plein d'émotions. Un seul sujet interprété en HDR par trois photographes différents sera triple. La subjectivité des auteurs aura fait la différence, Gennaro.





ZerberuZ 01.04.2013 - 23:12
Herrlech foto .... an daat doen errennert mech un eng interessant diskussioun die ech elo weini haat closed_eye
gtaddei1 02.04.2013 - 00:49
merci JC, jo dei Diskussioun war schon interessant ... Waat ze entweckelen ass d'Wurzel vum Saatzbau an den Bildungsspiel... smile
ZerberuZ 02.04.2013 - 12:36
Op daat Bildungsspiel sin ech gespaant smile
Miisamm 07.04.2013 - 00:48
Ganz ganz schein, d'Fuerwe gefaale mer mega, haat dee marber guer net su blo an erennerung... kennt bei mengen opnahmen och guer net sou eraus, mee awer schein ze kucken bigsmile
gi87 07.04.2013 - 00:58
Hunse de Metteg am FEP gesin, an um Pabeier wiektse grad esou Flott ewei hei ! Wonnerbar verschaft !

(Passwuert verluer)

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